Traccia svolta di Francese | Seconda prova maturità 2019
Traccia svolta di francese: soluzioni della seconda prova maturità 2019 per il liceo linguistico. Risposta alle domande ed espressione scritta
TRACCIA SVOLTA FRANCESE PARTE 1
PARTIE 1 – COMPRÉHENSION ET INTERPRÉTATION
- VRAI
- FAUX
- VRAI
- VRAI
- FAUX
- L’auteur compare Thiers à <<un général de papier>>, parce qu’il se pose au chef de la révolution des écrivains, comme un général sur le champ de bataille, contre l’ordonnance du roi Charles X qui suspend la liberté de presse.
- La phrase : “Ils ne racontaient plus l’Histoire dans des volumes en souscription, ils étaient en train de la faire” se réfère au fait que les journalistes, qui normalement sont députés à écrire les événements historiques sur les volumes vendus aux citoyens, en ce cas spécifique se trouvent dans une position particulière : ils sont en train de faire la révolution ils mêmes, en s’opposent en première personne, à travers la signature d’un texte de protestation, au régime du roi, qui avait suspendu la liberté de presse.
- Le changement de ton entre la première et la deuxième partie du texte est clair: au début du texte l’auteur utilise une métaphore avec le choix d’un langage repris de l’argot militaire, avec des mots comme «général de papier»; «guérite de bureau»; «le reste de la troupe», en comparant donc les écrivains aux militaires, une choix stylistique qui souligne la solennité du moment historique.
La deuxième partie redevient plus légère, en parlant d’un ragot comme celui de Sainte-Beuve apparemment « parrain et au même temps vrai père du fils de Victor Hugo », mais surtout avec le choix de souligner les caractéristiques qui rendent même les grands écrivains des simples humains comme les autres citoyens « Balzac qui ne rêvait que pairie, armoiries, duchesses et noblesse. » ou Victor Hugo absent justifié pour la naissance de son fils.
TRACCIA SVOLTA FRANCESE PARTE 2
PARTIE 2 – PRODUCTION ÉCRITE
Dans cet extrait, pris d’une interview accordée à l’Institut français, l’écrivaine Leïla Slimani parle de la langue française et de la vision de cette langue à l’étrangère, souvent considérée une langue difficile et apanage seulement des intellectuels. Leïla souligne l’importance de renouveler cette vision, en montrant aux jeunes le français non plus seulement comme la langue de Flaubert ou d’Hugo, mais plutôt comme la langue du futur : utilisée par les chanteurs pour rapper, comme fait par exemple le fameux Stromae ou comme une connaissance à utiliser pour avoir plusieurs opportunités dans le monde du travail.
On ne peut pas oublier que la France c’est un des Pays les plus importants au monde, avec plusieurs colonies encore existants (les DOM ou les TOM) et au même temps que le français est parlé aussi au Canada : tout ça considéré, il devient donc clair comme la connaissance de cette langue puisse fournir une offre de travail plus variée dans tous les champs, pour des professionnels comme médecins, ingénieurs ou avocats, mais aussi pour les travailleurs du champ alimentaire ou de l’hôtellerie.
Aujourd’hui la connaissance des langues étrangères est devenu un trait fondamental qui peut enrichir le curriculum et qui peut devenir aussi un ticket d’entrée dans une selection pour un emploi, il faut donc instruire surtout les jeunes sur toutes ces possibilités, pour faire ça, les ministères de l’éducation des différents Pays devaient probablement rajeunir le programmes d’études : par exemple on ne doit forcément abandonner Stendhal, qui reste une pierre angulaire de la littérature mondiale, mais on peut au même temps ajouter des écrivains contemporaines comme Musso ou Joël Dicker, le fameux auteur suisse du best-seller « La vérité sur le cas Henry Quebert », ces romans seront surement plus facile à lire pour un étudiant des années 2000 et pourront intéresser même un public plus difficile à conquérir comme celui des adolescents.