Traccia svolta francese seconda prova liceo linguistico maturità 2017

Traccia svolta francese seconda prova liceo linguistico maturità 2017: ecco le soluzioni per la lingua straniera

Traccia svolta francese seconda prova liceo linguistico maturità 2017
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TRACCIA SVOLTA FRANCESE LICEO LINGUISTICO SECONDA PROVA MATURITA' 2017

Quattro tracce per quattro ambiti diversi tra le quali scegliere: ecco com'è composta la seconda prova di lingua francese per gli studenti del liceo linguistico. Per arrivare sereni e bene preparati all'appuntamento con il secondo scritto, uno dei più difficili dell'intera maturità, è bene esercitarsi con le tracce degli anni scorsi.

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Traccia ufficiale - Traccia svolta

Quattro le lingue presenti nella seconda prova del liceo linguistico per la maturità 2017, fra le quali ovviamente francese. Una prova abbastanza complessa quella a cui gli studenti sono stati chiamati a rispondere, che si divideva in quattro tracce fra cui scegliere. A quel punto bisognava poi rispondere alle domande di comprensione del testo e quindi produrre una delle richieste espresse dalla traccia. Ecco i quattro ambiti con i quattro testi proposti

  • Ambito Attualità, testo di Claude Pion
  • Ambito Storico Sociale, Noemie Rousseau
  • Ambito Letteratura, Leila Slimani
  • Ambito Artistico, Jade Lethard Methon

TRACCIA SVOLTA FRANCESE MATURITA' 2017: SECONDA PROVA LICEO LINGUISTICO

Fonte: ufficio-stampa

Traccia B, ambito storico sociale

COMPRÉHENSION :

  1. Le « volontourisme », appelé aussi « tourisme humanitaire », est une expression qui décrit un très récent phénomène combinant tourisme et volontariat. C’est une tendance importante qui est très appréciée non seulement par les couples fraichement formés (on parla en fait de « lune de miel humanitaire ») mais aussi par les autres.
  2. Apparemment il y a plusieurs formes de « tourisme humanitaire » qui sont proposées par les tour-opérateurs. On peut citer par exemple les journées dans les orphelinats, les fournitures scolaires dans les villages, la distribution du matériel collecté, une collaboration avec une association locale, etc.
  3. Les campagnes de dissuasion du volontourisme lancées par le ONG témoignent que le profil du touriste qui s’engage dans l’humanitaire est celui de l’individu sentant le besoin d’avoir une mission, d’être gentil, de jouer au père Noël pour quelques jours , dans la convictions de pouvoir sauver l’Afrique entière et les enfants qui meurent de faim par ses actions.
  4.  Malheureusement, avoir fait des festivals et quelques heures de baby-sitting est absolument insuffisant pour contribuer efficacement  sur le terrain. 
  5. Evidemment le « volontourisme » représente une formule très appréciée pour sa force attractive. En effet, en analysant les témoignages, il s’agit sans aucun doute  d’un enrichissement inoubliable et les mêmes spots des tour-opérateurs parlent  d’une expérience atypique, authentique et, en outre, alternative. On a l’exigence de fixer au voyage un autre but, de le relier à une vraie mission.
  6. Les mots de Rony Brauman expliquent efficacement l’impossibilité, ou du mois les perplexités, de joindre voyage et humanitaire. Le premier est a pour but l’ exploration la découverte de personnes, de paysages, de saveurs ; tandis que le l’engagement humanitaire c’est une attitude sociale très appréciable qui naît par le besoin d’aider les autres mais qui risque de disqualifier le voyage en lui- même : la rencontre de ces deux univers est une vraie contradiction. 
  7. Selon Rony Brauman, ancien président de Médecins sans frontières, critiquer le tourisme humanitaire est une question sensible parce qu'on  court le risque de casser l’élan et le désir des personnes de s’engager, c’est-à-dire l’envie de s’engager et d’aider ceux qui en ont besoin.
  8. Il est évident que pour aider réellement les pays en développement les bons sentiments et les bonnes intentions m ne sont pas suffisants. En fait c’est absolument nécessaire qu'il y ait une réflexion qui soit concrète et intellectuellement motivée. On ne peut pas transformer les orphelinats dans des étapes de solidarité où les enfants  sont considérés comme une attraction amusante permettant de   prendre une photo pour la montrer à ses amis une fois rentrés en France, en Italie etc.
  9. Les dangers et les périls de ce phénomène sont sûrement nombreux .À propos de cela, il est suffisant de penser aux risques de traiter les personnes locales, en particulier les enfants, comme une attraction touristique, en oubliant qu’il s’agit de personnes et pas de monuments ou partie du paysage. En outre, l’exploitation des bonnes volontés peut déterminer, dans le cas où le séjour ne se passe pas trop bien, la méfiance envers tout le phénomène associatif.
  10. L’expression « racisme positif » se réfère à la tendance de convaincre les jeunes européens, et les « blancs » en général, d’être supérieurs aux personnes des pays d’intervention et de pouvoir sauver le monde entier, même sans bac ni compétences.
  11. La sociologue Alizée Delpierre, pendant une enquête de trois ans chez Projects Abroad, a souligné l’importance des parents des jeunes qui font du tourisme humanitaire. Ce sont surtout les riches familles des beaux quartiers parisiens qui aiment l’idée que leurs enfants acquièrent des compétences internationales, en comprenant la chance d’avoir une vie privilégiée par rapport au reste du monde et en testant leurs  réelles capacités.

PRODUCTION :

1) Vous êtes engagé dans une activité de bénévolat à l’intention d’un pays en développement. Vous envoyez un courriel, d’environ 300 mots, à un/e ami/e pour lui parler de cette activité.

Salut Marie,

je viens de terminer mes examens  et j’ai enfin du temps pour t’écrire et donc pour te communiquer mes projets pour le futur. On avait déjà parlé l’été dernière du besoin de faire quelque chose de positif, de la nécessité  d’aider les autres et d’avoir une expérience de vie importante  pour s’enrichir d’un point de vue humain.

Après le lycée, comme apparemment  beaucoup d’autres jeunes surtout à l’étranger,  Je n’ai pas d’envie de commencer tout de suite mes études à l’université car je ressens le besoin  de tester mes capacités et d’acquérir des compétences en dehors du domaine de l’école et des professeurs ; en plus,  durant  ces derniers jours je ne suis plus trop sûre  de vouloir poursuivre ma carrière  en Italie (en fait je pourrais te rejoindre à Paris, dont l’Université est l'une des meilleures en France, surtout pour le droit !).

C'est pour cela que quand le père de mon copain, qui travaille pour les Médecins sans frontières, m’a proposé de le suivre au Congo avec d'autres volontaires, j’ai mis en doute tous mes projets, y compris   l’idée de  commencer mes études de droit à Rome en octobre.

C'est  exactement ce que j’attendais : la possibilité de contribuer efficacement  à  la vie de quelqu’un qui en a besoin et qui a été moins privilégié que moi.  En effet, pour ce projet on n’a pas seulement besoin de médecins et d’ infirmiers ; au contraire, on cherche aussi des personnes disponibles pour participer à des cours de « peinture émotive » créés  spécialement pour les enfants.  Le programme en question se base sur l’idée que les petits qui ont souffert et qui ont perdu quelqu’un de leur famille  n’ont pas seulement le besoin d’être pris en charge mais aussi d’ exprimer  leur douleur et leurs  sentiments : quel meilleur remède que l’art ? Même si mes parents ne sont pas trop d’accord avec ce plan-ci, j’ en suis de plus en plus convaincue.

Quelle est ton opinion à ce sujet? Bisous

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